Un an deux points zéro

Une année d'existence, déjà


Jeudi soir dernier, le 19 mai donc, on a fêté ça dignement : le premier anniversaire de notre supersite. Eh oui, un an déjà, comme ça passe vite c'est fou toussa : difficile d'éviter les clichés en ce genre d'occasion. C'est Girly qui a organisé le premier dîner Corporate de Rosemood...

Un an Atelier Rosemood

Jeudi soir dernier, le 19 mai donc, on a fêté ça dignement : le premier anniversaire de notre supersite. Eh oui, un an déjà, comme ça passe vite c'est fou toussa : difficile d'éviter les clichés en ce genre d'occasion.

C'est Girly qui a organisé le premier dîner Corporate de Rosemood (c'est le nom de notre holding, basée aux îles Caïmans, qui détient rosemood.fr. Via une cascade de sociétés écrans bien sûr, il n'y a pas que les joueurs de tennis qui sont des gros malins). Et comme Girly a un certain sens de la coolitude, je me suis retrouvé dans un endroit bien trop branché pour mon profil. Près du canal St Martin (bien sûr), avec plein de petits barbus trop cools (stuveu), et plein de musique assez forte pour que les serveurs n'entendent pas quand on demandait des carafes d'eau gratos.

Mais bon, c'était bien quand même hein.

Même si j'étais en face de Guillaume, j'ai pas trop parlé php et turbopascal : c'était bien cool d'avoir un update meetic avec Neda (ça a pris un peu de temps), et Delphine m'a gentiment expliqué que j'avais pas trop pour habitude de super bien m'habiller. OK. Pierre s'est barré fissa car il avait un plan avec ses vrais potes, les trucs corpo ça va. Du coup, il a pu échapper au cours de lithothérapie du copain de Joanna, et ya même Sophie qui est allé danser quand le DJ a passé du Chuck Berry : ça lui a rappelé le mariage de son petit-fils.

Ouais, OK, il y a eu du Chuck Berry. Mais il y a eu des trucs cools aussi. Le problème c'est que j'ai réalisé ce soir-là que j'avais plus trop le physique pour me déhancher, au contraire de Girly qui sautillait dans tous les sens. Et puis surtout, j'ai aussi réalisé que Marianne allait nous manquer le temps qu'elle nous revienne. Elle a choisi ce jour pour partir, so long Marianne.